Nous avons déjà écrit à plusieurs reprises sur toutes sortes d’astuces utilisées par les services spéciaux de l’agresseur afin d’avoir des « athlètes de Crimée » aux Jeux Olympiques de Paris, même sous la forme d’« athlètes neutres ».
Cette longue agitation dans les coulisses, avec la participation des « fédérations sportives russes », s’est déroulée dans le contexte d’un « courant de conscience » de la part des collaborateurs de la Crimée au sujet de la prétendue « inutilité des Jeux Olympiques » et du fait que « personne n’ira là-bas ». Maintenant, dans ce contexte, les mêmes services spéciaux russes menacent, par l’intermédiaire des « médias de Sébastopol », d’attaques terroristes aux mêmes Jeux Olympiques.
Cependant, aujourd’hui, la propagande russe glorifie déjà par son nom tous les « athlètes neutres » qui ont réussi à passer le processus de sélection des fédérations sportives internationales et du Comité International Olympique (CIO). Cependant, aucun résident de Crimée n’a été identifié parmi ceux qui se sont infiltrés.
Nous voudrions rappeler que notre Association, à l’avance et à plusieurs reprises, après les premières déclarations du CIO sur les « athlètes neutres » comme couverture pour les « athlètes » de l’agresseur, a écrit aux fédérations sportives internationales et au CIO, exigeant que les « athlètes » ne soient pas autorisés à participer aux Jeux Olympiques et à d’autres événements internationaux, et a activement soutenu la tentative d’annexion de la Crimée.
Et maintenant, promouvant la version habituelle que « les raisins sont encore très verts », la propagande de l’agresseur cite le criminel « ministre des sports » de l’occupant, Olga Torubarova, qui aurait déclaré que « cinq athlètes de Crimée qui ont refusé d’aller aux Jeux Olympiques sans le drapeau russe recevront un million de roubles chacun. »
Le gauleiter de Crimée, Sergei Aksyonov, aurait décidé de donner l’argent, annonçant soudainement que « les athlètes de la région ont décidé de refuser de participer aux Jeux Olympiques de Paris et ont pleinement soutenu leur décision ». En même temps, naturellement, personne au niveau international n’a offert à ces personnes d’aller nulle part.
Dans cette intrigue tragicomique, qui rappelle l’ancienne blague « Je veux retourner à Paris », tout lecteur se pose une question simple : probablement, n’importe qui pourrait dire qu’il « refuse les Jeux Olympiques », exigeant un million pour lui-même, et comment ont-ils « enlevé » les « cinq chanceux » anonymes qui « pouvaient potentiellement aller aux Jeux Olympiques, mais n’y sont pas allés » ?
Le secret ici est simple : les « olympiens potentiels » mentionnés ne sont pas seulement le personnel des services spéciaux de l’agresseur, mais aussi ceux qui sont assurés de ne pas se plaindre après que le million pathétiquement promis à eux se soit en fait « perdu » quelque part.

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